New edition of ‘Criminologie’ – Les proches de personnes judiciarisées: expériences humaines et connaissances carcérales.

French-speaking carceral geographers will want to take a look at the new edition of Cover of Les proches de personnes judiciarisées : expériences humaines et connaissances carcérales, Volume 52, Number 1, Spring 2019, pp. 5-347, CriminologieCriminologie‘, a special edition entitled ‘Les proches de personnes judiciarisées : expériences humaines et connaissances carcérales’ (Relatives of people under judicial investigation: human experiences and prison knowledge), guest-edited by Sandra Lehalle and including papers by:

Caroline Touraut (L’expérience carcérale élargie : une peine sociale invisible / The larger prison experience: An invisible social punishment);

Vanina Ferreccio (L’expérience de l’enfermement chez les proches de détenus. Une approche de l’extension des logiques carcérales / The experience of imprisonment on prisoners’ families. An approach to the expansionism of prison logics);

Gwenola Ricordeau («Faire son temps» et «attendre». Temporalités carcérales et temps vécu dedans et dehors / “Doing time” and “waiting”. Carceral rhythms and the experience of time inside and outside prison);

Dominique Laferrière (L’ambivalence de l’entourage des personnes délinquantes
The ambivalence of the relatives of individuals who offend)

Megan Sullivan (Les enfants de parents incarcérés aux États-Unis : une analyse qualitative / A Qualitative Analysis of Children whose Parents Are Incarcerated in the US)

Ariane Amado (Quelle place pour l’autre parent d’un enfant en prison? Une étude en droit comparé entre la France et l’Angleterre / Is there a place for the other parent of a child with lives with a parent in prison? A comparative legal study of France and England);

Sandra Lehalle and Mélissa Beaulieu (Le « rôle » de mères de détenus. Une maternité confrontée aux contraintes carcérales et aux attaques sociales / The role of mothers of prisoners. Blame, constraints, and daily adaptation);

Kaitlin MacKenzie («La seule constance… c’est l’inconstance» Les répercussions des faux positifs des scanneurs à ions sur les familles des détenus canadiens / ‘The only thing consistent…is the inconsistency’ The harmful effects of false positive ion scanner hits on families of Canadian prisoners);

Else Marie Knudsen (La curieuse invisibilité des enfants de détenus dans la politique canadienne de justice pénale / The curious invisibility of the children of prisoners in Canadian criminal justice policy);

Sophie de Saussure (Les effets de la peine sur les proches des contrevenants. Difficultés et discussion quant à leur problématisation lors de la détermination de la peine / The effects of punishment on the offenders’ relatives. Difficulties and discussion regarding their problematization at the sentencing stage);

and

Stacey Hannem (Déconstruire la stigmatisation des familles dans le discours sur les familles affectées par l’incarcération / Deconstructing Stigma in Discourse on Families Affected by Incarceration)